Faire du business en ligne est souvent perçu comme étant une véritable aubaine, pour le peu que l’on ait les bonnes compétences et surtout la bonne idée pour faire fructifier sa petite entreprise. Ce n’est pas un Eldorado pavé d’or, contrairement à ce que certaines personnes peuvent laisser entendre. Certes, il y en a qui ont réussi à dégager des bénéfices insolents en peu de temps, mais il s’agit d’une extrême minorité. Néanmoins, en utilisant les bons leviers et en faisant preuve de patience mêlée d’un peu d’audace, il est possible de créer son petit e-commerce et de pouvoir en vivre très bien. Nous allons voir dans cet article ce qu’il en est et quels sont les conseils de base pour se lancer dans cette formidable aventure professionnelle.
Qu’est-ce exactement que l’e-commerce
Prenons l’exemple d’une boutique en ligne de vente de vêtements. On s’imagine plusieurs activités devant être réalisées simultanément et souvent par la même personne au départ, l’entrepreneur. Que ce soit utiliser de l’emballage pour e-commerçant BBA afin d’expédier ses produits au client, ou encore de répondre aux questions sur le tchat en ligne, puis de devoir faire tard le soir sa comptabilité, il y a du vrai et du faux dans ces préjugés.
Revenons à l’essentiel. Un e-commerce est généralement de permettre une transaction en ligne entre un acheteur (privé ou société) et une boutique dématérialisée. Sous ce geste anodin, réalisé désormais par l’écrasante majorité de la population, se cache un chiffre d’affaires global du secteur d’une valeur vertigineuse de plus de cinq mille milliards de dollars américains. Vertigineux.
Savoir de quel e-commerce l’on parle
Les boutiques et plus largement l’achat de produits en ligne est un domaine aussi large que varié, c’est pourquoi il est fait la distinction entre les différents types de e-commerce. Avant de se lancer dans ce business, il s’agit avant tout d’en connaître les différentes ramifications.
Entre entreprises (BtoB) : c’est un commerce en ligne qui vend produit ou services à une autre entreprise, en étant soi-même une entreprise. Les efforts ne sont pas mis sur l’acquisition d’une clientèle privée. Par exemple, vendre des emballages de carton en gros pour d’autres fournisseurs qui en ont besoin pour leur propre business.
De l’entreprise au client (BtoC) : il n’y a pas besoin de plusieurs exemples pour le comprendre, c’est généralement ce qui vient d’abord à l’esprit lorsque l’on parle de commerce. C’est simplement une entreprise qui vend à des particuliers.
Du particulier jusqu’à l’entreprise (CtoB) : bien moins connue que les deux autres types de business, il s’agit en fait d’un domaine de niche bien particulier, où ce sont les individus non professionnels qui vendent leur production ou leurs services à une société, qui elle-même peut revendre ces éléments à des clients. Un peu compliqué, mais l’exemple parfait sont les banques d’images à disposition sur internet, qui servent à illustrer des articles de blog. Ici, les notions de droit à l’image et de propriété intellectuelle sont importants.
Entre individus (CtoC) : c’est assez connu et beaucoup d’entre nous ont sûrement déjà fait appel à ce type de services. C’est la vente entre particuliers, ce qui comprend le fameux dropshipping qui est une activité e-commerce bien en vogue pour ceux qui veulent se lancer dans le business en ligne.